![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBvbCFlSGAnZTUy66G_EeeE9sOxXZ2xBMQmL2q_LoQTKKp7Hw3mmxUgB-Tn592ruwkRpUPHMXFC2UcqYodIaJ7-RbDa9mx-dwftuYWzSnQV9TlPNNktdlmzdidf5IRh4brMt13NkieQfk/s400/sarko.jpg)
Alors celle là, il ne fallait pas la louper, la une de The Economist de la semaine dernière que voilà. Nos amis libéraux d'outre-manche ont donc sérieusement revu à la baisse les espérances qu'ils fondaient sur Sarko pour convertir la France à l'ultra-libéralisme.
En effet, on n'oubliera pas la une d'il y a quelques années :
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhT9Q4oQBdVuhLouVJNB5jbUz_7OymMrHv07fpT6JOJn9bF7wkHRhRuyzIkVx0u-iax-msP3yDQ91L2qIDcINH3cuedR__ydZGk7LcVjEP2cyklqOJrU-KumsTohjq2HtziST3lZqmgTjY/s400/sarkoleon.jpg)
Sic transit. Si même les libéraux anglais lâchent Sarko, après l'ONU, l'Union européenne, les USA, les Pays africains et le Pape...
Le Président qui rétrécit est un clin d'oeil évident à cette autre une d'un autre grand magazine. Il s'agissait de Bill Clinton en 1993, une année après son accession à la Présidence, empêtré dans ses difficultés intérieures concernant la mise en place d'un système de santé, et par l'engagement catastrophique de l'armée américaine en Somalie - Restore Hope, cela s'appelait.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc4HEVGEJu6uqv_t_Pwz3oYhBrxUKf5qV42ciR-_tVG_Bv7GCV9z9Px08BUAfCCWrtZUTRYVLbEo4J40Qp9fjpKzvOAhfo5pdEL1rsqVXVL16H2vKsRJiJz6zE4b4nq6EC0yt9a7rGPig/s400/clinton.jpg)